Déc
02

Camp de ski de fond AMSF 22e édition

Mine de rien, la tradition continue … Les ateliers de ski de fond, les rencontres de Pilates, le service de massothérapie, la détente houblon, la soirée choco-porto, le tirage , la santé , la remise des bourses, l’animation musicale … Sans oublier la neige , l’excellente nourriture et  les nombreux sourires.

Lauréats 2012 du fonds des maîtres
Sarah Harvey ( 500 $ ) – Antoine Laforte ( 500 $ ) – Alexis Dumas ( 500 $ ) – Club Hus-Ski de Duchesnay ( 1000 $ )

10 km Fischer ( résultats et photos )

Circuit des maîtres ( classement et meneurs )

Photos du camp 2012

 

 

Nov
16

Première Neige ….

Les mordus du ski de fond seront ravis d’apprendre que de la neige est présentement disponible à la Forêt Montmorency. Sautez sur le forfait « Première Neige » . Si vous êtes chanceux, vous verrez peut-être un skieur de fond russe à l’entraînement…

Déc
14

Camp des maîtres 21e édition / AMSF 2011

Depuis 21 ans, la magie continue d’opérer son charme… Les ateliers de toute nature sont toujours très sollicités. Qu’ils soient à saveur de « Pilates » ou de houblon, faut faire la file comme è la cafétéria. Les ateliers extérieurs ne sont pas en reste avec la brigade des moniteurs toujours au poste et disposés à dévoiler leurs secrets. La conférence a de quoi donner le vertige mais pas autant que la dégustation choco-porto… La cafétéria roule à la vitesse grand V et l’équipe des massothérapeutes fonctionne à plein régime. La prochaine édition aura lieu les 13-14-15-16 décembre 2012. Et vous, y serez-vous ?

Lauréats 2011 du fonds des maîtres :

Cendrine Browne ( 500 $ )  –   Olivier Hamel ( 500 $ )  –  Philippe Boucher ( 500 $ )  –  Club Mouski Nordique ( 1000 $ )

Photos du camp 2011

 

Déc
12

Skier sans connaissance !

Annus horribilis 2011 ! Oui, l’hiver 2011 fut une saison de merde pour une de mes passions : le ski de fond.

Par ici pour la suite de l’article

 

Sep
08

COLLABORATION AMSFQ / RGS

Tel que déjà mentionné,  ce nouveau service  est réservé exclusivement aux membres 2011-2012 de l’AMSFQ . Supervisé par un technicien hautement qualifié , il comprend les aspects suivants :

  • Etude de la cambrure de vos skis ( style classique ou style libre )
  • Mise à niveau de la semelle du ski.
  • Structure permanente appliquée sur la semelle du ski selon vos besoins et les conditions de neige.
  • Application de la structure avec précision, minutie et exactitude.
  • Profondeur de la structure variant entre 0,05 mm et 0,5 mm.
  • Les structures peuvent contenir un maximum de 60 lignes / cm.

Prix AMSFQ / RGS : 45 $ ( taxes en sus ) pour chaque paire de skis.

Personne ressource à contacter : Ulysse Ramsay ( ulysseramsay@gmail.com )

 

 

Juil
29

Camp des maîtres 2011

Comment faire pour participer au prochain camp des maîtres ( 8 -9-10-11  décembre 2011 ) ? C’est pourtant simple. S’agit de suivre la recette magique….

Etape 1 :  Renouveler son adhésion à l’AMSF  le plus tôt possible en remplissant le formulaire reçu par la poste. Formulaire également disponible sur le site.

Etape 2 : Retourner  la fiche d’inscription pour le camp . Celle-ci sera postée le 15 octobre uniquement aux membres de l’AMSF  2011-2012 .La période allouée pour la priorité d’inscription sera de deux semaines.

Etape 3 : A partir du 1er novembre, la fiche deviendra disponible sur le site .

Etape 4 : Prier pour la disponibilité … de la neige.

Prendre note que la transmission de la fiche d’inscription devra suivre la voie postale . Aucune inscription via des fichiers PDF ne sera acceptée.

 

Avr
01

Transjurassienne 2011

Extrait de l’Écho des maîtres, numéro 28 (avril 2011)
(voir l’article sous forme pdf)

Transjurassienne 2011
par Nathalie Langlois, Magog

Depuis que j’ai mon passeport de la Worldloppet, j’ai décidé d’essayer de faire une loppet par année ou par deux ans, pour éventuellement les faire toutes. Après la Vasaloppet en Suède l’an passé, cette année c’est la Transjurassienne qui m’a séduite. J’avais le goût d’en faire une en pas de patin et c’était la plus longue, 76 km, ce qui me plaisait bien.

Je quitte donc le Québec le 6 février pour le Jura français avec un ami. Nous étions un peu inquiets du manque de neige et nos craintes furent confirmées à notre arrivée.

Un soleil radieux, une température clémente, des gazons verts, mais pas de neige au sol. Les dernières précipitations dans la région remontaient au 25 décembre. Heureusement, on apprend que la course va tout de même avoir lieu sur un parcours de repli, en altitude. Le tracé sera raccourci : le 76 km et le 54 km deviendront un 40 km comprenant une boucle de 10 km skiée deux fois. C’était mieux qu’une course annulée ou que de tourner en rond sur une boucle de quelques kilomètres, mais j’étais quand même déçue.

Au lieu d’un trajet sillonnant à travers les villages avec un dénivelé négatif, on se retrouvait sur un parcours escarpé dans la forêt, en altitude, avec un dénivelé positif (montée 1020 m, descente 970 m). Pour moi, ça voulait dire un effort plus court mais beaucoup plus intense.

Dans la semaine qui précède, on skie le parcours presque au complet, en deux sorties. Les conditions de neige sont minimales, il faut enlever les skis à plusieurs reprises. Il y a des sections en terre, d’autres sur la glace vive, c’est du ski extrême! On se demande comment les organisateurs vont faire pour arranger le tout. Heureusement ils ont fait des miracles avec, entre autres, de la neige artificielle.

Sachant qu’il y a environ 300 femmes qui prennent le départ, je me fixe un objectif de terminer dans les 40 premières ou dans le premier 15 % et de faire un temps de moins de 2 h 30.

Nathalie Langlois au départ de la Transjurassienne en Franche-Comté, qui a accueilli plus de 3 000 skieurs. La future récipiendaire de la 9e édition du Circuit des maîtres a fait une superbe course, malgré les conditions de neige difficiles.

Il y a quatre vagues de départ, en plus de la vague élite. Grâce à mes courses antérieures, je suis classée dans la première vague. On nous place dans des zones clôturées selon nos vagues, skis dans les mains. On se sent comme des poules en cage! Lorsque le départ a été donné, tout le monde s’est précipité à la porte en se bousculant, comme s’il y avait le feu. Puisqu’on avait des puces et que le temps comptait seulement quand on passait la ligne, j’ai pris mon temps et je suis partie dans les dernières de ma vague. Ça m’a permis de remonter et de dépasser durant toute la course, c’est bon pour le moral! Je ciblais les filles qui avaient un dossard rose (alors que les gars étaient en bleu). J’avais de bonnes jambes et un bon feeling. La catégorie élite était partie cinq minutes avant nous alors je savais qu’il y avait déjà une trentaine de filles devant. Au 6e km, un spectateur m’a dit que j’étais 38e femme. Je me suis dit : « Bon, c’est le temps d’aller en dépasser d’autres si tu veux rester dans le top 40 ». Et une à la fois, je les passais 37, 36, 35…

Les conditions étaient difficiles avec de la neige soit molle en gros sel, soit très collante. Les descentes étaient périlleuses car il s’était formé plein de remblais et c’était dur de contrôler les skis. Il faisait chaud, plus de 10 °C.

Vers la fin de ma première boucle, je me suis fait dépasser par les premiers hommes qui avaient déjà 10 km d’avance et qui terminaient leur 2e boucle. C’était impressionnant de les voir passer!

Les organisateurs ont fait des miracles à la Transjurassienne avec, entre autres, de la neige artificielle.

Quand on est repassé au départ au 30e km, la 4e vague venait juste de partir et on a été pris dans une foule de skieurs peu expérimentés et plus lents. C’est dur de dépasser, surtout que la piste n’était pas large, à côté c’était de la terre, et ça montait pas mal. Je suis tombée une fois mais heureusement vite relevée et pas de bris d’équipement.

Durant le parcours, j’ai été encouragé à plusieurs reprises: « Vas-y Nathalie ». La première fois, je me suis dit: « Il y a une Nathalie qui skie juste derrière moi ». Puis, j’ai réalisé que les gens avaient un journal avec la liste de tous les participants et les numéros de dossards. J’ai donc entendu mon prénom souvent, parfois accompagné de « GO la Canadienne ».

C’était vraiment l’fun et motivant! Finalement, dans les derniers 7 km j’étais encore en pleine forme et c’est là que j’ai dépassé le plus de filles. J’avais perdu le décompte mais je savais que je m’alignais vers un top 25.

Je termine en 19e position sur 285 femmes, avec un temps de 2 h 19’ 33”. Je suis très contente de ma course et j’ai atteint mes objectifs. Avec les numéros de dossard, je peux voir quelles filles étaient inscrites au 54 km, lesquelles étaient inscrites au 76 km. Les élites faisaient le 54 km et j’aurais donc terminé 3e femme au global au 76 km si j’avais maintenue cette position. Il va falloir que je revienne le faire un jour, ce fameux 76 km.

Mar
19

Résultats : Loppet de la forêt Montmorency ( 12 mars 2011 )

Résultats

Mar
07

Résultats : course Peter Austin ( 6 mars 2011 )

Résultats

Mar
01

Photos

Cliquez sur les photos pour agrandir.

Une compétition est habituellement  annulée ou modifiée à cause du manque de neige. En 2007, ce  fut plutôt un excès de neige!

Forestville en 2007, Junique et Ethier

Red Bull Ski Cross, en Suisse, c.2010

Ça roule en Europe!

 

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